Ce que nous faisons dans le programme
Le Répertoire des ventes d’antiques en France au XIXe siècle s’attache à retracer le parcours de œuvres depuis leur découverte jusqu’à leur lieu de conservation actuel, ainsi un de ses objectifs consiste à identifier...
Par Lucille Garnery, Camille Nerestan, Morgan Belzic. Regarder au-delà des ventes d’antiquités Depuis dix ans, le programme de recherche Répertoire des ventes d’antiques se focalise sur les ventes aux enchères dédiées aux antiques ou...
Sur les deux mille sept cent quatre entrées du catalogue de la vente des antiquités du chevaliers Edme Antoine Durand, deux cent soixante deux concernent des bijoux. Leur renseignement dans la base de données AGORHA permet de dresser un rapide aperçu des spécificités de cette partie de la vente.
La consultation du très riche fonds d’archives du baron Jean de Witte à l’Institut de France a permis d’identifier la provenance jusqu’alors supposée d’une des plus belles productions du style de Kertch[1] représentant l’anodos...
Le site Sur la piste des œuvres antiques est maintenant intégré aux ressources répertoriées par NETcher – Social Platform for Cultural Heritage. NETCHER a créé une liste non exhaustive de projets et d’initiatives qui...
Les catalogues de Jean de Witte permettent, une nouvelle fois, d’identifier un vase ayant perdu son historique.
Antoine Courtin revient dans cet article publié sur le site Numrha sur le processus de création et les enjeux du site de datavisualisation du Répertoire des ventes d’antiques, Sur la piste des œuvres antiques.
Melle Rousset est l’un des principaux acquéreurs lors de la vente Pourtalès. Son identification représentait un enjeux majeur pour la localisation actuelle des objets.
En janvier 2019, deux nouvelles ventes ont été intégrées sur le site http://ventesdantiques.inha.fr, qui propose une autre manière de visualiser les données du répertoire. Il s’agit de la vente Pembroke de 1839 (voir ce...
La collection Pourtalès comprend un ensemble conséquent de marbres antiques, dont certains sont encore parmi les pièces maîtresses des musées des grandes capitales européennes. Le catalogue de vente comporte déjà un grand nombre d’indications concernant l’origine de ces sculptures acquises essentiellement sur le marché de l’art et issues de collections plus ou moins prestigieuses. De quelles collections de marbres antiques le comte de Pourtalès a t-il nourri son musée ?
La collection Pourtalès, vendue en 1865, représente une masse importante de donnée concernant près de 2000 antiquités. Quelle méthode adopter pour la répertorier ? Quels résultats peut-on espérer dès le début de la recherche ?
Extrait de la journée d’étude « Les Antiques à l’épreuve du marteau. Premiers résultats et perspectives du programme Répertoire des ventes d’antiques en France au XIXe siècle » (INHA – Musée du Louvre), 26 Janvier 2018....
Les membres de l’équipe se sont réunis afin de dresser un bilan de l’année passée et d’établir les grandes orientations de l’année à venir, déjà riche d’idées et de projets. Parmi les grandes avancées...
Qui était Nicolas Plaoutine, auteur de quelques articles et de quatre fascicules du Corpus Vasorum Antiquorum, dont le nom n’apparaît que fugitivement dans l’historiographie de la céramique grecque ? Aucune biographie détaillée n’existe sur le...
Calenda
